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n° 44 En savoir plus sur la ville de Nogent-sur-Marne ici |
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La petite église de village, contemporaine de la cathédrale Notre Dame de Paris, a connu des agrandissements successifs et des aléas, mais n'a pas été ébranlée par ses huit siècles d'existence. saint Saturnin est fêté le 29 Novembre |
Clocher
classé monument historique n° 47 |
Son clocher roman a été classé
monument historique en 1909 et son esthétique et la sérénité qui s'en
émane, propices au recueillement, font de cette église, l'une des plus belles
de l'Île
de France. |
En raison des risques d'effondrement des voûtes, la façade a été entièrement refaite et l'édifice agrandi d'une travée en 1853 par l'architecte Claude Naissant, puis de trois travées en 1913 et d'un porche gothique flamboyant provenant d'un couvent parisien détruit pendant la Révolution. Ce portail mis en place en 1914, surmonté d'une mosaïque, daterait de la fin du XVè siècle.
n°
46 |
n°
48 |
n° 57
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Les parties les plus anciennes du choeur et de la nef, remonteraient au XIIIè siècle. Elles abritent deux dalles funéraires de la même époque, certainement celles des fondateurs. L'église a été fortement restaurée au XIXè siècle. |
n°
01 |
Derrière
l'autel, |
n° 16 |
n° 15 |
n° 17 |
Lors de votre visite dans cette église, vous pourrez découvrir de nombreux autres vitraux qui bordent les deux allées latérales, et vous recueillir dans les chapelles dédiées à Marie et à la Sainte Famille.
n°
19 |
Devant l'autel un |
n°
56 |
Sans oublier les nombreux concerts |
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L'ART DU TEMPS LIBRE
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De
belles demeures témoignent de ce passé : Au cours du XXè siècle l'engouement des parisiens et des artistes pour NOGENT, ira crescendo. L'ambiance joyeuse des guinguettes ouvre d'intarissables inspirations au monde du 7ème art, aux peintres confirmés comme " à ceux du dimanche ". Ayant passé de 1910 à 1927, dimanches et vacances dans la propriété familiale, POULENC y puisera l'inspiration de ses premières oeuvres et revint souvent " en pèlerinage " aux sources de son enchantement. A partir de 1936, après une visite déterminante à Notre-Dame de rocamadour, haut-lieu de pèlerinage médiéval, sans délaisser l'écriture pour piano, les musiques de scène ou les cycles de mélodies incomparables, il abordera avec succès la composition d'oeuvres profondément religieuses, le plus souvent vocales et/ou orchestrales. Son comportement paradoxal lui valu l'épithète qu'il ne réfutait pas, de " moine ou voyou ". Sa grande sensibilité, sa personnalité, son style indépendant, ont donné une orientation nouvelle à la musique française du XXè siècle.
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